Le ministère de l'Agriculture, de la Pêche et de l'Alimentation a lancé un consultation publique rapport préalable sur le projet d'arrêté royal de modifier les normes de qualité des jus de fruits, des confitures et du lait déshydraté. Ce processus est réalisé en raison de la nécessité d'adapter la législation espagnole aux changements introduits par la directive (UE) 2024/1438, dont l'objectif est de moderniser la réglementation et de répondre aux nouvelles exigences des consommateurs et du marché.
Dans le domaine de jus de fruits Les modifications proposées comprennent l'introduction d'un déclaration volontaire d'étiquetagequi informe les consommateurs que « les jus de fruits ne contiennent que des sucres naturels ». Cette mesure vise à dissiper la confusion et à encourager des choix d'achat éclairés, puisque de nombreux consommateurs ne font pas la distinction entre les sucres ajoutés et ceux naturellement présents dans les aliments.
Il sera également permis création de nouvelles catégories de jus à teneur réduite en sucrequelque chose qui s'inscrit dans le développement d'options plus saines, sans qu'il soit nécessaire de sacrifier la qualité ou les caractéristiques essentielles des jus. Une autre innovation remarquable est l'inclusion des protéines des graines de tournesol comme agents de collage autorisés, ce qui élargit les outils dont disposent les producteurs pour garantir la qualité sans recourir à des substances d'origine animale.
Dans le cas du confitures et geléesle projet d'arrêté royal introduit des modifications qui favorisent les produits ayant un teneur en fruits plus élevée et moins de sucres ajoutés. La quantité minimale de fruits nécessaire à la production sera augmentée, améliorant ainsi le profil nutritionnel de ces produits. Cela répond à la tendance croissante des consommateurs à acheter davantage d’aliments naturels. Selon le décret, l'utilisation de jus concentrés sera autorisée dans la production de certaines catégories, facilitant ainsi la diversification pour les fabricants.
Dans le cas du lait déshydratéil est proposé d'inclure un nouveau traitement autorisé pour réduire sa teneur en lactoseen s'adaptant aux besoins d'une niche de marché dans laquelle l'intolérance au lactose constitue un problème de plus en plus pertinent. Ce changement diversifie non seulement l'offre pour les consommateurs, selon le ministère, mais renforce également l'engagement en faveur de l'inclusion alimentaire.
L'objectif principal de cette consultation publique est de garantir la participation active des citoyens, des associations et des entreprises au processus de mise à jour de la réglementation. Il s'agit d'une approche participative qui permet aux personnes et aux organisations touchées par ces changements d'exprimer leur opinion, contribuant ainsi à une réglementation plus équilibrée et plus efficace. En réalité, il y a des questions plus importantes qui devraient être soumises à consultation, mais ce n’est pas le cas, donc pour certains, cette consultation n’est qu’une simple étape.
Le Ministère commente que dans un contexte où la demande de produits plus sains, durables et transparents augmente de jour en jour, les modifications arrivent à point nommé. Avec la consultation publique, l'objectif est de renforcer la transparence et la légitimité des décisions prises, puisqu'en théorie diverses perspectives sont intégrées pour l'élaboration de la réglementation.
Il date limite d'envoi des commentaires et suggestions sera ouvert jusqu'au 18 décembre 2024 prochainet doit être envoyé à la boîte aux lettres officielle autorisée et dûment identifiée par l'expéditeur. Il convient de noter que cette opportunité offre aux citoyens, aux organisations et aux entreprises une plateforme pour contribuer directement à la conception de politiques qui auront un impact sur l'industrie alimentaire et les consommateurs. À notre avis, c’est une plaisanterie de plus, car comme nous l’avons déjà commenté, il y a des questions bien plus importantes qui soit ne sont pas abordées, soit aucune collaboration n’est demandée.
Vous pouvez découvrir tous les détails de cette consultation publique à travers cet article publié sur le site officiel du ministère de l'Agriculture, de la Pêche et de l'Alimentation.